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jeudi 19 juillet 2012

Plongee, cascades et surf

Il ne me reste plus que 5 jours avant de prendre l'avion pour Sydney. J'avais prevu de faire le tour de l'ile en scooter, en prenant mon temps. Mais a chaque fois que je prevois quelque chose, cela change au fur et a mesure. C'est ca la magie du voyage.

Je rencontre un Californien dans mon hotel a Padang Bai le soir, qui me dit que l'on peut faire de la plongee pour pas cher a l'Est de l'ile, a Tulamben. J'arrive donc dans cette ville le matin et je vais voir dans un centre de plongee francais, ils me disent que si je plonge pour pas cher, ce n'est pas avec des professionnels, donc pas tres sur. Ils me proposent de passer un brevet de plongee en 3 jours. Je me dis pourquoi pas, c'est beaucoup moins cher qu'en France ou qu'en Australie, donc c'est une opportunite a prendre. Mais je n'ai pas beaucoup de temps donc je demande si je peux le passer en 2 jours, ils acceptent et je commence en debut d'apres midi, par de la theorie. Apres, je fais ma premiere plongee en mer sur un petit recif de corail puis apres dans une piscine pour faire des exercices de respiration, de flottabilite, de sauvetage... Le soir je fais un petit test pour m'entrainer en vue du test final. Le lendemain je fais 3 plongees sur 3 sites differents, le premier est le meme que la veille, le deuxieme est une fosse tres profonde, avec un mur de corail, je vais jusqu'a 18 metres de profondeur, en voyant d'enormes poissons et des plus petits mais tout aussi beau. Pour notre derniere plongee nous allons voir une epave americaine de la deuxieme guerre mondiale, nous passons a l'interieur, c'est vraiment impressionnant comment la vie maritime s'adapte a l'environnement, cette epave est devenu un nid de poissons et de crustaces. Meme si la visibilite n'est pas bonne ce jour, on peut voir qu'il y a plus de couleur sous l'eau que sur la terre ferme. Le soir je passe mon test avec succes et donc je recois mon premier brevet de plongee : Open Water Diver.

15/07: Je suis toujours motive pour faire le tour de l'ile meme s'il ne me reste que 2 jours pour rendre mon scooter a Kuta. Donc je pars en fin de matinee, apres avoir rempli de la paperasse, vers la pointe Nord de l'ile, sur la route je m'arrete a une cascade. Je suis arrive au nord, je redescends dans les terres, sur les routes montagneuses et me pose aux cascades de Gigit pour manger. Apres je continue vers les lacs au centre, je me perds un peu sur la route mais finalement je trouve les lacs. J'en longe 2 et je me retrouve sur une toute petites route perdu au milieu de nul part, mais tellement belle, je passe par des petits villages, ou les gens vivent de la cultures d'epices. C'est peut-etre la plus belle route que j'ai empreintee a Bali, alors qu'il y en a beaucoup. J'arrive finalement a Banjar, au temple bouddhiste, que je visite, puis au sources thermales. Je me baigne vite fait car il y avait beacoup de monde et je repars pour chercher un endroit ou dormir. Les filles m'avaient dit qu'elles avaient souvent demandees a dormir chez les habitants quand elles etaient sur l'ile de Java, et comme il commence a faire nuit et que je suis un peu perdu dans un petit village, je demande si je peux dormir chez quelqu'un. Mais la communication est difficile quand les gens ne parlent pas anglais, mais je finis par comprendre qu'un des jeunes avec qui j'avais parle, m'emmene chez lui. On fait quelques kilometres en scooter et on arrive en plein centre ville, il me dit qu'il y a un hotel pas cher au coin de la rue. Decidemment, on ne se comprend pas... Mais bon, au moins j'ai trouve un endroit pour dormir, c'est le principal.

16/07 : Je repars de bonne heure sur la route, il me reste tout le tour de la cote ouest a faire en une journee, plus de 200 km en scooter. Sur ma route je m'arrette a un temple avec des singes. Apres, je passe par un petit bout du parc national de Bali Ouest et je m'arrette le midi a Medewi, au Sud de la cote Ouest, un spot de surf repute. Au debut je regarde les surfeurs, je prends quelques cliches et finalement je me dis pourquoi pas en faire. Donc je loue une planche et vais surfer, comme je peux... Je suis toujours debutant, mais ca commence a venir. Je mange un bout avant de repartir direction le Sud de l'ile. J'arrive finalement a Kuta en fin d'apres midi, perdu, je ne reconnais pas du tout la ville, la population touristique a plus que triplee depuis que j'ai quitte la ville, c'est affollant. Je retrouve l'hotel apres avoir demander mon chemin a plusieurs reprises et je retrouve mes affaires que j'avais laisse 15 jours auparavant.

Le lendemain soir je prends l'avion pour Sydney.

Lombok et retour a Bali

Apres les Gilis, nous retournons a Senggigi pour 2 jours. La deuxieme journee, 3 d'entre nous allons dans le centre de Lombok. Nous passons d'abord par le Water Palace, un vieux et grand palais avec  un grand bassin au pied et des fleurs de toutes les couleurs remplissant les jardins. C'etait etrange car c'est un endroit touristique, nous devons bien evidemment payer pour entrer, mais des gens vivent a l'interieur, dans des petites baraques dans l'enceinte du palais.
Nous continuons notre promenade en scooter, en grimpant sur une piste de terre a 45degres et nous arrivons au parking pour monter a une cascade. On nous propose de prendre un guide pour y aller a pied et ne pas se perdre car il y a des chemins un peu partout et seulement 2 cascades, mais nous voulions monter en scooter pour qu'on y soit plus rapidement. Effectivement, apres 200 metres, nous arrivons dans une jungle de palmiers avec des petits chemins de terre, ca ne devait pas etre tres bon pour les scooters mais ca l'a fait, avec une toute petite chute presque a l'arret. Finalement arrives a la cascade, c'etait magnifique, des centaines de litres d'eau tombant de plusieurs dizaines de metres de hauteur, nous etions seuls, juste tous les 3 pour contempler cette magie de la nature.

Les filles ont finalement renvoye leurs tandems a Jakarta car les routes sont trop montagneuses, nous marchions 3 fois plus que nous pedalions. Donc je rends mon velo en meme temps. Nous avions programme d'aller a Senaru, au pied du Mont Rinjani, un volcan de 3700m de hauteur, avec a ses pieds, des cascades, un parc national et d'autres beautes de la nature. Mais je devais retourne a Bali, donc j'y reste juste pour une journee. Nous faisons une longue marche dans l'apres midi, avec un guide super sympa qui nous amene a 2 magnifiques cascades, un village traditionnel, ou les gens essaient de resister a la modernisation et au nouvel Islamisme et nous finissons par un couche de Soleil au milieu des rizieres.

Le lendemain, je reprends la route pour Bali, si j'avais su la galere qui m'attendait, j'aurais attendu 1 journee de plus. Je quitte les filles le matin, un homme de l'hotel m'emmene sur son scoot pour rejoindre un minibus a quelques kilometres. Je devais rejoindre quelqu'un a la capitale pour qu'il m'amene au ferry. J'arrive a Mataram avec du retard, il me dit qu'il faut que l'on se depeche pour ne pas louper le ferry, donc on embarque sur son scooter, mais au bout de quelques minutes il s'arrette apres avoir dit a un chauffeur de minibus de me prendre avec lui (j'ai l'impression qu'ils se connaissent tous, les indonesions et qu'ils bossent un peu pour tout le monde). Donc je change encore de moyen de transport et 2 minutes plus tard, on creve... Et pile a un endroit ou il y a des travaux et ou la circulation est difficile, donc apres que la roue fut changee, nous repartons pour le ferry. Arrive au port d'embarquement, je me rends compte que le mec ne m'avait pas donne de ticket d'embarquement, donc je m'explique avec celui qui m'attendait et il pensait que j'allais a Kuta alors que j'allais a Padang Bai, la ou j'avais laisse mon scooter. Finalement on se debrouille et j'embarque enfin pour Bali.
Arrive a Padang Bai a la tombee de la nuit, je retourne a l'hotel ou mon scooter etait gare et je prends une chambre. OUF ! enfin je peux poser mes affaires. Le soir je vais sur internet, pieds nus, pour prendre des nouvelles de la France. Je ressors une heure apres et je vais juste a cote pour diner. Et la, je me rends compte que le sol n'est pas normal, ca colle sous mes pieds, je m'assois a la table et je vois le goudron, qui venait d'etre deposer sur la route, colle sous mes pieds... Je retourne en vitesse a l'hotel pour l'enlever, mais le temps d'y arriver, ca avait deja seche un peu, les gens de l'hotel n'en reviennent pas, ils me donnent de l'huile pour m'aider a enlever le goudron car l'eau et le savon ne marchent pas, mais c'est la meme, donc finalement un des employes de l'hotel va sifonner son scooter pour me donner un peu d'essence, et grace a lui, je reussi enfin a enlever cette salete de goudron. Je retourne donc a lendroit pour manger, cette fois en chaussures.

Lombok jusqu'aux Gilis

2/08 : Nous quittons donc Bali et ses temples hindouistes, pour Lombok et ses mosquées, en ferry. Arrivés à Lembar en fin de journée, je commence à découvrir la galère des filles avec le voyage en tandems. Nous venions d'assister au coucher de soleil sur le ferry et maintenant qu'il faisait noir, il fallait se rendre en bus à la capitale, Mataram. Nous avions un ticket de bus pour 5 personnes et 2 vélos, mais ils n'avaient prévu que ce seraient des vélos doubles... Donc il nous a fallu trouver un minibus pour atteindre Mataram.
Je trouve un vélo à louer le lendemain à Senggigi, un peu plus au nord, pour suivre les filles dans leur périple. Mais nous ne partirons que demain, donc cette après midi je loue une planche et vais surfer avec un indonésien qui me donne des conseils, je commence à comprendre les bases.

"Gili" veut dire "petite île" en Bahasa.
Au nord-ouest de Lombok, se trouvent 3 Gilis : Trawangan, Meno et Air. Sur ces petites îles, les véhicules motorisés sont interdits, donc les gens marchent, font du vélo ou pour les plus flemmards, il y a les calèches. Il n'y a pas de police non plus, juste une sécurité de l'île, pour éviter les vols (avec les touristes) et la violence.
Nous avons donc passé 2 nuits sur Trawangan, la plus grande des 3. C'est l'île où il y a la fête. Durant la journée, on entend du reggae partout, et le soir c'est concert dans les bars et restaurants. C'est donc touristique, mais pas gênant comme les grandes villes touristiques, comme Kuta, car les gens y viennent pour faire la fête le soir mais aussi pour être au calme la journée.
Apres Gili Trawangan, nous avons pris un petit bateau-navette qui nous a amene a Gili Meno. C'est la plus sauvage des 3, il y a de grandes plages, presque pas d'animation, bref le paradis pour la tranquilite. Le dernier soir, nous sommes alles rejoindre des indonesiens ainsi que des etrangers, autour d'un petit feu de camp sur la plage en s'echangeant les guitares a tour de role tout en comparant nos differentes cultures.
Mais sur ces iles ne vivent pas que des touristes et des commercants il y aussi des habitants au centre des iles, avec leurs plantations et leurs elevages, qui vivent normalement suivant le rythme de la mosquee.



(J'ai commence ce message sur mon ordinateur et l'ai fini sur un PC dans une auberge de jeunesse, c'est pour cela qu'a la fin il n'y a pas d'accents... Et je ne peux pas mettre de photo en utilisant celui-ci, mais vous pouvez les voir sur facebook. Merci)

Decouverte de la culture et du paysage Balinais


28/06 : Après avoir pris l'avion de Darwin, j'atterri à Kuta, un peu plus au Sud de la capitale Denpasar. En sortant de l'aéroport, il y avait un homme qui m'attendait avec un panneau sur lequel mon nom était inscrit. La petite histoire c'est que j'avais croisé un Néo-Zélandais super sympa à Katherine, dans l'auberge de jeunesse, qui m'avait donc réservé un chambre d'hôtel à Kuta.
Le lendemain matin, je laisse le plus gros de mes affaires dans un hôtel et je loue un scooter pour rejoindre les 4 cyclistes d'EcoGuidons (http://ecoguidons.com/). 4 étudiantes à Lyon qui font un tour d'Indonésie avec deux tandems.
Le jour suivant, nous partons à 3 pour Amed, une petite ville sur la côte Est de Bali, en scooter. Sur la route, on dévie pour monter jusqu'à un temple Hindouiste (Bali est la seule île hindouiste d'Indonésie, tout le reste étant musulman). Le temple qui longe la montagne tout en montant, est en fait divisé en une douzaine de temple, plus ou moins vieux et grand, qui s'étendent sur le versant de la montagne. Nous ne sommes pas allé tout en haut, mais nous étions tout de même à une bonne hauteur, d'où nous pouvions voir la mer au loin, ainsi qu'un volcan caché au milieu des nuages. Nous avons assisté à des prières et de nombreuses offrandes.


Nous arrivons finalement à Amed en fin d'après-midi. Après avoir contemplé le couché de soleil sur ce même volcan, on est allé manger et boire un coup dans un petit restaurant pendant qu'un groupe de Balinais jouait de la musique. On est donc resté et bu de la Rak (alcool de riz), peut-être un peu trop. J'ai joué un peu avec le groupe à la fin.
Le lendemain matin, réveillé avant les filles, je vais me baigner à la plage et j'aide quelques pêcheurs à remonter leurs petits bateau sur le sable noir volcanique. Après le petit-déjeuner, on va faire du snorkeling dans la baie d'Amed, on pouvait observer de beaux coraux et des poissons étranges, mais aussi un tout petit temple au fond de l'eau, peut-être un autel...



L'après midi, on reprend la route pour rejoindre les deux autres membres du groupe EcoGuidons, à Padangbai. Nous décidons de partir pour l'île de Lombok, situé à l'Est de Bali.

jeudi 28 juin 2012

C'est la fin des melons



La saison des récoltes a commencé, nous nous retrouvons à une trentaine dans la ferme. Une douzaine de jeunes sont arrivés à la ferme pour faire du « picking » de melons. Je change de travail, maintenant j’essuie les melons et je les fais monter sur un tapis roulant relié à une derrière un tracteur. Ca à l’air ennuyant dit comme ça, et bien ça l’est. Les heures défilent au moins aussi lentement que le désherbage. Mais il y a un jeu pour se divertir un peu, se lancer les tiges des melons sur les autres sans se faire voir. Et oui, ca nous fait retourner en enfance ces boulots où l’on a pas besoin de réfléchir…















Le jour de mon anniversaire, les « pickers » m’ont chanté happy birthday pendant que nous travaillions. Je pense que c’était la seule et dernière fois que je passerai un anniversaire comme ça.
Et le soir, j’ai eu le droit un gâteau glacé avec les Japonaises.







Dans ces pickers, il y avait des anglais, des irlandais, des italiens et des français. La coupe d’europe de football allait commencer, donc évidemment, ils ont acheté une antenne et ramené un écran. Donc après le boulot, tout le monde regardaient les meilleurs actions des matchs rediffusées sur la télé australienne. Il y avait une bonne ambiance les jours de match où l’Angleterre, l’Irlande, l’Italie et la France jouaient, tout le monde se traitait en anglais, c’est pas mal pour apprendre la langue.
Quelques fois, le soir, on faisait des feux avec les palettes de la ferme. Pas besoin de les ramener à la main de derrière Carouf, c’est mieux quand même.





Un soir, avec deux nouveaux français (et oui en Australie, la majeure partie des backpackers sont des français) nous avons vu un rodéo.






Nous avons eu le droit à un barbecue avec bières gratuites. On s’amusait bien jusqu’au moment où le patron a pris une petite moto pour jeune et est tombé sur le dos. Les 2 jours qui ont suivis nous n’avons pas travaillé, il était à l’hôpital.





 Nous sommes aussi retournés à Katherine Gorge, mais cette fois avec une glacière bien trop lourde pour une marche comme ça. Mais ça valait le coup de boire des bières devant la cascade et sauter de presque 20m.


























Les hot springs de Katherine et Mataranka, sont des sources d’eaux chaudes. Celles de Mataranka, à 80 km de la ferme, sont magnifiques, remplies de couleurs. Nous avions un photographe sub aquatique avec nous, pratique.

























Mon dernier travail consistait à ramasser des branches d’arbre dans un champ qui était autrefois une forêt. Et toute la journée tu manges du sable, de la poussière, de la suie car on brûle les branches directement dans le champ. Mais ça permet de faire des petites pauses, car c’est peut-être le boulot le plus horrible de la ferme. L’espèce de voiture de golf à 4 roues motrices se nomme un buggy. C’était notre moyen de transport dans la ferme. Et la plupart du temps dans ce boulot, le buggy s’enlisait dans le sable.














Ce qui va me manquer c’est de prendre mon petit déjeuner en voyant le soleil se lever devant moi. Je n’avais jamais vu des levers de soleil aussi magnifiques (peut-être aussi parce que je ne me lève pas souvent à 6h du matin).




Après plus de 3 mois de labeur, avec ces tonnes de melons passés dans mes mains, après avoir conduit un tracteur et un forklift, après avoir quitté cette ferme et après avoir quitté cette ville, je repars sur la route pour quitter le territoire australien et atterrir en Indonésie, à Bali ce soir… pour une nouvelle aventure, pas très organisée.   Qui vivra verra !













Ma Maison



 A la ferme, il y a 2 blocs. Ce sont des préfabriqués divisés en petites chambres avec une cuisine au milieu.  Le soir, les insectes volants tournent autour des lumières, des crapauds se promènent sur le sol et parfois dans les toilettes, si l’on a oublié de fermer la porte. L’Australie n’est pas un endroit pour les gens qui ont peur des insectes. Presque tous les jours, dans les champs ou même à la ferme, je découvre une nouvelle sorte d’insecte mais aussi d’araignée.






















 La poussière soulevée par le vent toute la journée, fait partie du quotidien. Tous les jours après le travail, tu reviens marron à cause du sol en sable rouge.





  Il y a aussi un élément stupide mais amusant : Boots, le chien de la ferme. Un chien bête comme ses pieds et qui ramène des morceaux de kangourous à la ferme.



(Je suis désolé, je n'arrive pas à mettre la même couleur d'écriture que d'habitude...)

vendredi 20 avril 2012

Les français


Ce voyage m’apprend comment les français sont vus par les « étrangers ». Un bon français est censé être un Chef en cuisine, il est vrai que je prépare des repas simples et bon marchés, mais je m’améliore, j’expérimente, j’improvise. Un bon français est aussi censé être un expert en vin et adorer le sang de notre bon Jésus, malheureusement je ne connais que très peu le vin, à part les petits vins de supermarché et d’épicerie (ex : Cuisse de Bergère, Corbière), je ne peux rien vous apprendre. Je ne suis pas non plus un voleur ; car OUI ! Les français sont réputés pour être des voleurs. Savez-vous ce qu’est le « French Shopping ». C’est simple, vous faites vos courses au supermarché, vous prenez un sac à dos, et un article sur deux, vous le mettez dans votre sac ou votre poche, et l’autre dans le panier. Bon quelques fois ça peut se comprendre, quand on voit qu’un Camembert, 3 fois plus petit que ceux que l’on trouve dans nos supermarchés, coûte 15 à 20$, la tentation se fait ressentir.
J’en conclus donc que je ne suis pas un bon français. Et alors ?